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 Luka Cheratov

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AuteurMessage
Luka CheratovSpetsnaz, Sergent-chefLuka Cheratov
Messages : 13
Date d'inscription : 03/03/2013
Age : 38
Localisation : A un endroit où tu ne voudrais pas être...

Dossier du personnel
Grade Honneur:
Arme n°2::
Arme n°1::

Luka Cheratov Empty
MessageSujet: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeDim 3 Mar - 17:43

Luka "Vorobey" Cheratov - Лука "Воробей" Счератов
Luka Cheratov Luka_c10
« Que Dieu ait pitié de mes ennemis car je n'en aurai aucune »
- Georges S. Patton -


Nom : Cheratov - Счератов.
Prénom : Luka - Лука.
Matricule : G67U32R96.
Identifiant : Vorobey - Воробей.
Grade : Sergent-chef - Старший сержант.

Matériel :
AK-12 configuré selon quatre setups : configuration de soutien (kit de changement 5.45 / 7.62, viseur Kobra, bipied tactique, poignée verticale, AN/PEQ-15A, lampe tactique SureFire, 3 chargeurs camembert 100 cartouches), configuration d'assaut (kit de changement 5.45 / 7.62, viseur PK-A, AN/PEQ-15A, lampe tactique SureFire, 10 chargeurs 30 cartouches, lance-grenade GP-30), configuration de précision (kit de changement 5.45 / 7.62, lunette PKS-07, bipied tactique, poignée verticale, AN/PEQ-15A, 10 chargeurs 30 cartouches), configuration silencieuse (kit de changement 5.45 / 7.62, viseur PK-A, poignée verticale, AN/PEQ-15A, lampe tactique SureFire, silencieux, 10 chargeurs 30 cartouches).
MP-443 Grach avec une lampe tactique SureFire et 3 chargeurs 17 cartouches.
Couteau de survie à lame pliante, pince multifonctions, coupe-sangles.
3 grenades fumigènes (deux blanches, une rouge pour l'extraction / signalisation de position), 2 grenades flash-bang, 2 grenade offensives RGN.
Autre matériel spécifiques à des missions particulières pouvant compléter ou remplacer le matériel général.
Autre matériel plus général (trousse de premiers secours personnelle, laryngophone / casque & micro une oreille, talkie-walkie, pistolet lance-fusées unicoup, ration de survie).

Description physique :
Qu'est réellement Luka ? Un soldat, un homme des forces spéciales, rompu à toutes les formes de combat, un guerrier qui n'a crainte de la mort et des douleurs, un sur-homme qui s'entraîne nuit et jour à être meilleur, à être le meilleur. Mais tous ça, est-ce vrai ? Est-ce stéréotypé de sa personne ? Est-il réellement cet homme là après tout ? N'a-t-il pas de points faibles ? Aucune faille ? La vérité est bien plus subtile qu'un simple sur-homme !
Si l'on ne s'attarde pas sur son physique, on remarque qu'il est grand, mais sa taille (1 mètre 83) reste dans la moyenne des parachutistes. On remarque également qu'il est large d'épaules, imposant et musclé (87 kilos nu, dont une masse musculaire très avancée). Pourtant cette forte masse ne le nuit en aucun cas dans l'endurance ou la vitesse : certes, ce sont deux points qu'il a travaillé et qu'il travaille bien plus que le reste, et grâce au temps passé, eh bien il est devenu bon, sans pour autant être le meilleur, dans ces domaines là.
Au niveau du visage, on remarque simplement qu'il a une chevelure brune, presque si ce n'est entièrement noire, mais avec de faibles reflets cendrés. Tradition chez les Spetsnaz, mais également look assumé, il garde une coupe de cheveux très courte, pour ne pas dire totalement rasé. Ses yeux sont d'un coloris noir, son regard obscur et perçant, mais aussi très détendu et observateur. Son expression faciale générale reste la neutralité totale, ce qui est extrêmement dérangeant pour lui mais surtout pour son entourage dans les moments difficile : il donne la nette impression qu'il ne ressent rien ou qu'il s'en fiche totalement. Ainsi, il est souvent mépris à un psychopathe : cette maladie, courante parmi les malades mentaux, se caractérise d'abord et surtout par une absence totale de sentiments, d'émotions, de ressentis. Ce peut être un clair atout en opération comme un interrogatoire, un vrai calvaire lors d'un enterrement, de la perte d'un proche ou même lors d'une simple inquiétude, pour un saut en territoire ennemi notamment : même s'il sent, il n'arrive pas à le montrer, et donc on se sent légèrement inférieur, ou on peut également le sentir beaucoup trop fier. Si l'on revient à la description de son physique, on remarque des sourcils fins qui étrangement tendent vers le blond. On remarque son nez assez fin mais plus ou moins long, et ses lèvres très fines et longues. Il a d'ailleurs ce que les anciens appellent un « sourire super-dents blanches », les dents blanches ayant caractérisé dans de nombreuses armées, et ce pendant des années, les planqués ou les troupes disposant d'un certain confort que d'autres n'avaient pas. Pour conclure avec son visage, son menton est assez brut et carré, et il ne porte que rarement la barbe, dans des cas particuliers. On ne peut que citer l'exemple des trois jours de combat rudes sans possibilité de dormir et de faire sa toilette calmement.
Ensuite, si l'on s'intéresse à son corps nu, on remarque, en plus d'une teinte de peau légèrement bronzée et typique des moscovites en été, d'une ossature forte et d'une musculature impressionnante, de nombreuses cicatrices, marques de missions ou d'un passé difficile, vers un avenir autant rude et périlleux. Des traces de coups de couteaux aux bras, aux jambes mais également au torse, des traces de coups de fouets, d'électrochocs et d'autres tortures subies entre autres durant sa formation, et des cicatrices de balles. Dans sa carrière, Luka a été déclaré blessé par balle à deux reprises : l'une sur l'épaule gauche, l'autre entre les deux poumons. Deux mauvais souvenirs, longues heures de souffrances, de hurlements et de gémissements de douleurs qui n'en finissaient pas, avant d'être évacué vers le front arrière. Être forces spéciales, ça ne donne pas certaines priorités concernant les blessés.
Jusqu'ici, on a fait une description sommaire, un genre de premier aperçu, du physique de Luka. Si on s'attelle à sa description avec un avis un peu plus professionnel, et encore plus médical, on remarque que sa constitution physique qui peut paraître extraordinaire est malheureusement devenu un handicap. Luka commence à se faire vieux et les courbatures se ressentent de plus en plus les matins calmes après une dure nuit de labeur, dans la boue et le sang. Les souffrances de ces courbatures, combinés à celles des blessures mal soignées, peuvent être si intenses qu'il se dope généralement grâce à des cachets d'antidouleurs. Cependant, et grâce aux médicaments qui le rendent cependant dépendant, il n'en reste pas moins un excellent soldat, donc un membre des forces spéciales parmi tant d'autres : il mise plutôt sur l'intelligence pour se démarquer que sur le physique, et c'est tout à son honneur, puisqu'en plus, cette méthode semble jusqu'alors marcher.
Vient ensuite la description de ses compétences physiques. En tant que soldat, il sait bien évidemment entretenir une arme, tirer, lancer une grenade, réparer sommairement un véhicule, proliférer les premiers soins, survivre quelques jours en milieu hostile (le célèbre scénario du « derrière les lignes ennemies »). Ces compétences basiques s'étayent avec les compétences acquises durant sa formation de Spetsnaz : la maîtrise d'un panel d'armes variés et impressionnant (du simple couteau au lance-missile antiaérien) qui d'ailleurs est aussi bien russe qu'occidental, la maîtrise parfaite des arts de combats du Sambo et du Systema, sans compter le Kravmaga et le Close Combat, la survie en milieu hostile ou sauvage plus longue et plus périlleuse, le saut en parachute (parfois à des distances nécessitant un équipement oxygène et isotherme), l'utilisation d'explosifs, la réparation avancée d'électronique et de mécanique, l'utilisation informatique et bien évidemment la filature et toutes les joies de l'interrogatoire, torture et autre espionnage sommaire. Si l'on parle également des compétences du domaine civil, il sait ordonner un lit, faire le ménage, repasser, se faire à manger : en clair, il est totalement indépendant aussi bien dans le milieu militaire que civil.
Enfin, pour conclure, on peut aborder les vêtements qu'il porte. Il s'habille, dans le civil, assez sommairement : chemises ou tee-shirt avec un jean ou un short l'été, tee-shirt à manches longues sous une veste avec un jean l'hiver, il n'a que peu de vêtements différents et tous basés sur des alliances de couleur noires et grises. Un homme parmi tant d'autres en quelque sorte, rien qui permette de l'identifier clairement. Il est amené également à porter une tenue de sport très basique, qui est celle de l'armée. En civil, il est rare voir quasi-impossible qu'il la porte. Il arbore rarement une casquette ou tout autre chapeau sur la tête, parfois un bob noir en hiver, parfois une casquette militaire en été, mais là encore, rarement dans le civil. Vient ensuite la vestimentaire militaire, et là c'est une tout autre histoire. Une tenue de sport complète, comportant tee-shirt veste et pantalon de sur-vêtements, mais également une tenue de cérémonie, ou le « costard du militaire », composé d'une veste et d'un pantalon de cérémonie vert kaki, avec une casquette de cérémonie à l'image de celles des commissaires politiques et autres hommes du NKVD ou autre KGB. Il a aussi plusieurs tenues de combats, variant au gré de la mission, de l'environnement et des conditions : des Gorka basiques ou camouflés, des tenues plus traditionnelles comme le treillis arctique avec la chapka et le manteau lourd, des combinaisons de saut ou de plongée. Il est difficile de les catégoriser ou de les énumérer puisqu'elles peuvent changer à tout moment. Vient enfin la tenue NRBC, une combinaison contre les armes nucléaires, radiologiques, bactériologiques et chimiques, avec un masque à gaz, des sur-gants et des sur-bottes. Puis tous le matériel autour : les gants en kevlar et les mitaines en cuir, les musettes et sacs plus imposants, les gilets pare-balles, chest-rigs et autres brelages plus légers, les casquettes, bonnets, chapka et autres casques, les bottes de sauts, palmes et autres chaussures de sports, les appareils de respiration avancés, les parachutes... Tout ce qui fait un vrai soldat en somme...
Description psychologique :
Comme tout bon opérateur qui se respecte, Luka est très calme et très professionnel. Il ne cède jamais à la panique ni à toute autre émotion forte. Pour être plus clair, il reste toujours calme, un calme contrastant avec les situations les plus délicates. Mais étant formé à être opérationnel dans toutes les situations, et à utiliser aussi bien sa tête que son corps pour se sortir de cas extrême, c'est assez normal pour lui, comme pour tout autre membre des forces spéciales. Ce qu'il fait il le fait, sans se poser de questions, sans se remettre en question. Ce sont des ordres, ils ne sont en aucun cas à réfuter. Même s'ils mettent en danger ses propres camarades, les ordres sont les ordres : il n'est pas payé à conseiller ou à penser, il est payé à tuer, à accomplir des missions extrêmes, délicates, dangereuses. Que ce soit en low-profile comme en situation de guerre, il n'a pas à interférer dans la chaîne de commandement en remplaçant ou supprimant certains ordres. Il l'a bien compris et s'en accommode parfaitement, si ce n'est naturellement.
Ainsi, il est très difficile de le cerner, puisque suivant la situation, suivant les ordres, suivant ses autorisations, il change du tout au tout. Entre une mission délicate surveillée par un général, et un interrogatoire clandestin d'un terroriste, il ne se permettra pas les mêmes dires, les mêmes attitudes, les mêmes gestes et les mêmes actions. Il en va de même avec une mission plus ou moins médiatisée et une mission totalement clandestine. Enfin, son comportement change également en fonction de l'ennemi qu'il a en face de lui. Un ennemi direct de la Russie, un terroriste, un poseur de bombes, un homme qui a tué des civils ou encore des frères d'armes, aura bien moins de chance de survie et une mort bien plus douloureuse qu'un ennemi indirect, qu'un homme qui n'a rien fait mais qu'on demande d'abattre, pour une raison qu'auprès tout, Luka ne veut pas savoir.
Car être un bon opérateur, c'est aussi ne pas être trop curieux. Suffisamment sur le terrain, pour éviter les mauvaises surprises et pour obtenir des informations parfois précieuses pour le gouvernement, mais également suffisamment peu pour éviter les foudres des états-majors. C'est également une manière d'accepter les ordres plus facilement. Ce qui reste le plus étrange, c'est qu'au delà de ce comportement d'obéissance et de respect des ordres à tout épreuve, Luka se montre très curieux dans le milieu civil, ce qui fait de lui une personne très proche d'un enquêteur, puisqu'il essaye d'ailleurs toujours d’interpréter les gens de par leurs dires, les expressions ou leurs geste. Pourtant, une fois sur le terrain, ceci s'estompe pour un respect parfait des ordres, une obéissance sans limite, quitte à assassiner sa propre famille, et une interprétation qui devient très tactique et plus canalisée : il tente toujours d'interpréter les gens, mais plutôt ses ennemis comme ses alliés, afin d'en tirer le maximum d'information. Il est également très observateur, ceci uniquement dans la vie militaire, et prend souvent le temps d'observer le terrain, quitte à passer de longues heures sur des photographies, des cartes et de relevés satellites ou aériens, avant « d'entrer sur scène », expression favorite du cher opérateur, comprendre partir en mission.
Ce qui fait de lui un soldat qui se démarque des autres membres des forces spéciales, c'est qu'il a tendance à mettre bien plus en avant sa force intellectuelle que physique, bien qu'elle reste dans les standards et qu'il passe les tests de remise à niveau sans aucun problème. Il a pris l'habitude, grâce à l'expérience, de se préparer toute une série de plans de secours en cas de problème particulier. Le plus dur n'est alors pas d'imaginer un plan de secours, mais d'imaginer un plan de secours qui permettrait tout de même d'accomplir les objectifs donnés. Car la mission doit être accomplie, au péril de sa vie ou de la vie des siens. Une sorte de preuve de son patriotisme, car Luka a beau détester l'être humain, il n'en reste pas moins attaché à son pays et à son peuple, sorte de tradition familiale, paradoxale puisqu'il n'a plus aucun lien avec sa famille.
En effet, Luka est un misanthrope, un homme qui déteste l'être humain. Cette catégorie de gens peut banale, dont il appartient, ne revendiquent rien d'autres que le rejet de l'être humain, et quelque part de la société, des actes de l'homme. Lui n'est pas idéaliste, il ne veut en aucun cas changer le monde. Il déteste simplement l'être humain, mais ce rejet devient une force. Ainsi, il peut tuer quelqu'un avec bien moins de remords, ressent bien moins l'attachement ce qui peut être un avantage lorsqu'on perd beaucoup de personnes proches. Mais ça reste également un problème, surtout dans le civil : au final, en dehors de ses frères d'armes pour qui il ne ressent rien d'autre que la plus basique camaraderie, il n'a personne, et dans le civil, il vit seul, dans l'extrême solitude pour être exact. Ainsi, il vit très peu, pour ne pas dire jamais, dans le monde civil, qu'il répugne au plus haut point. Pas d'amis, pas de famille, pas de femme, pas d'enfants. Aucun avenir, ce qu'il a pour ainsi dire toujours cherché, et qu'il ne regrette pour rien au monde. Cela ne l'empêche pas d'être très attiré par la gente féminine, bien que misanthrope. Mais il ne cherche alors qu'une distraction physique, et bien souvent, ne prévient sa partenaire qu'au dernier moment, c'est à dire lorsqu'elle se réveille seule le matin.
Mais ce n'est pas parce qu'il déteste l'homme et qu'il n'est pas attaché à ses camarades qu'il est le pire « enfoiré sur terre », comme il se plaît à insulter. Un allié blessé, encore plus quand il s'agit d'un des hommes qu'il peut avoir sous son commandement, est un homme à secourir, bien que ça ne soit pas une priorité. Si Luka ne peut pas se permettre de reculer pour secourir l'un des siens, alors il ne reculera pas. Si les ordres demandent de ne laisser aucun corps, Luka pourrait tuer l'un des siens blessé sans aucun scrupule, et faire disparaître son corps. D'ailleurs, il a encore plus de facilité à achever un blessé ennemi.
En dehors de ça, Luka agit de manière assez particulière avec les personnes qu'il n'apprécie pas. Étant très attiré par le bluff et la manipulation, qu'il utilise sans problèmes en mission, il n'hésite pas à s'en servir contre les personnes qu'il n'apprécie pas. Cette méthode subtile pour faire du tord aux personnes qu'il n'apprécie guère, il ne l'utilise que lorsqu'il a besoin ou lorsqu'il dépend d'une manière ou d'une autre de ces personnes. Sinon, il a une préférence pour la franchise et n'hésite pas à dire les choses telles qu'elles sont, servi chaud avec quelques poings dans la figure.
En temps qu'opérateur, il se plie à toutes sortes de mission, aussi bien de l'arrestation, de la filature, de l'opération antiterroriste, de la reconnaissance, du sabotage, de l'observation, de l'assassinat. Aucun milieu ne le dérange, mais il reste, comme tout bon Spetsnaz, et encore plus comme tout bon soldat, bien plus à l'aise dans un milieu dépeuplé et naturel, que dans un environnement urbain et en constante activité. Ces nerfs sont bien moins à cran, la possibilité de se faire arrêter est moindre, ainsi que la possibilité de se louper. De plus, on peut certes s'extraire rapidement d'une ville, mais si la situation n'est pas à l'avantage, elle peut vite devenir un calvaire où peu d'options sont possibles. Néanmoins, il reste très à l'aise dans les milieux naturels comme urbains, avec ou sans population.
Il reste d'ailleurs suffisamment adroit pour ne pas faire de victimes civiles, même si parfois, ce n'est pas l'envie qui lui en manque.
Intellectuellement parlant, Luka parle plusieurs langues : le russe, l'anglais, le mandarin, le portugais, l'espagnol et l'arabe. Six langues apprises au fur et à mesure de son expérience et de ses longues formations de remises à niveau, en plus de sa formation initiale qui lui a permis de maîtriser trois langues étrangères. Il connaît l'histoire mondiale des derniers siècles, et plus particulièrement l'histoire de son pays, s'y étant grandement intéressé. C'est également un homme assez cultivé, qui a lu et lit des livres de grande littérature. Il écrit d'ailleurs très souvent, pour passer le temps, de petites notes, parfois de fausses informations qui pourraient fausser l'ennemi s'il venait à être capturé, mort ou vif. Il a également une bonne culture cinématographique, bien que très occidentalisé. Puis, il a des bases en anatomie humaine, en sciences, en médecine et en mathématiques, ne s'étant jamais particulièrement intéressé à ces matières. Il sait se diagnostiquer les maladies les plus banales, et où frapper pour faire le plus mal, où viser pour blesser, que faire pour soigner différentes blessures qui pourraient presque passer pour banales pour un homme qui a participé à de nombreux combats. Car c'est tout ce qu'est Luka..

Biographie :
Peu de personnes, pour ne pas dire personne, ne connaît vraiment l'histoire de Luka, avant son entrée dans l'armée. On sait simplement qu'il est né le 18 Septembre 1988, dans une petite ville perdue de Sibérie. On sait qu'il était bon élève, qu'il a réussit le diplôme de fin d'études avec succès. On sait qu'il a été renié de son père, mort d'un cancer de la thyroïde quelques années plus tard, en entrant dans l'armée. Il aurait pu avoir un avenir meilleur, étudier dans les plus grandes universités de Russie, devenir ingénieur, directeur, conseiller, politicien, médecin. Il a choisi l'armée, là où on envoie les bons à riens et les tarés en tout genre pour mieux s'en débarrasser.
Le 8 Mars 2007, à l'âge de 18 ans, Luka rejoins un camp de formation en pleine Sibérie. L'un des centres de formation de la VDV, la force aéroportée russe, nommé « Vassili Tchapaïev », en l'honneur à ce combattant devenu héros de la révolution bolchevique. Neuf long mois de dure formation commence pour lui, neuf mois de calvaire, neuf mois de mauvais traitements, d'exercices épuisants, d'alertes nocturnes continues. Neuf mois à ramper dans la boue, à tirer sur des cibles en carton, à se faire frapper par les instructeurs, à passer des parcours toujours plus dangereux, parfois avec des mitrailleuses tirant juste au dessus de leurs têtes. A la fin de la formation, chose qui ferait scandale chez les Occidentaux, chose banale chez les russes, trois morts et un blessé grave, futur paraplégique. Mais Luka n'est pas de ceux-là et termine la formation avec brio. Il est alors affecté à un régiment de combat en garnison à Toula, bien loin de chez lui, un chez lui dont il ne veut plus entendre parler.
Après quelques mois où il parfait sa formation tout en ressentant bien moins de pression, un événement bouleverse la Russie et l'envoie en première ligne. Du côté du Caucase, les siens ont été sauvagement attaqués et bombardés par les Géorgiens. La capitale sud-ossète est à deux doigt de lâcher, et les quelques soldats russes en garnison, pour préserver la paix, ont du mal à ralentir la fureur des attaques géorgiennes. Le 8 Août au matin, alors qu'on se bat dans la capitale sud-ossète, le régiment de Luka fait route vers l'Ossétie du Sud et la Géorgie. Baptême du feu pour sa compagnie, c'est également la première fois qu'il voit les Sukhoï et autres MiG en action. Les chasseurs passent en rase-mottes, entraînant cris de joies et extases de la part des soldats, assis sur les blindés. Mieux vaut être sûr un blindé russe que dedans, on y meurt moins facilement. Au mieux, on meurt sous la puissance du premier tir. Alors qu'à l'intérieur, on peut survivre, on survit souvent, mais on est bloqué ou assommé, et là, on meurt brûlé vif, on meurt asphyxié par les fumées toxiques, on meurt étouffé par la chaleur. En arrivant à proximité de la capitale, il put voir pour la première fois l'ampleur de la guerre. Alors que les convois s'arrêtèrent pour la première nuit de guerre aux abords de la ville, l'artillerie et les avions se mirent à chasser les dernières poches de résistance. Les Hind russes effectuaient des aller-retours continus pour tirer au canon rotatif ou à la roquette sur les immeubles, tandis que leurs missiles antichars servaient à la destruction des pick-ups, véhicules réquisitionnés et rares blindés. Le lendemain, le convoi de la compagnie de Luka entrait dans les ruines de la ville, pour relever les unités Spetsnaz infiltrés depuis le début des combats. Pour la première fois de sa vie, le jeune soldat eu la grande chance de voir des cadavres et autres blessés, dont des amputés. Les combats avaient été violents mais les russes ont pu tenir une ligne de front suffisamment régulière. Deux jours plus tard, ce fut le premier combat du convoi : un groupe isolé lançait une attaque sur une intersection. Le véhicule de tête fut touché par un tir de roquette. Un long combat de plusieurs heures, qui nécessita l'intervention des Hind, débutait. Le bilan fut assez difficile, un mort et de nombreux blessés graves. Cinq seront amputés à vie, très souvent à cause des tirs de mortiers ou des tirs de RPG. Puis, après cette embuscade, la compagnie put repartir, et effectua une nuit de manœuvres pour rattraper le retard. Seulement, faute à une erreur de l'état-major, elle se retrouva à l'intérieur des lignes géorgiennes. Elle fut alors prise à parti, dans un village, par de nombreux groupes motorisés qui battaient en retraite. Pendant toute une nuit et une matinée, et subit de violentes attaques qu'elle peinait à repousser, en plus d'un bombardement d'artillerie et de mortiers incessant.
Suite à ce combat où une dizaine de soldats russes furent abattus, elle fut réaffecté en seconde ligne, pour éliminer les poches de résistance. Durant les combats qui s'apprêtaient plus à de longues escarmouches peu meurtrières, ils furent en compagnie des Spetsnaz, les forces spéciales russes. Quelques mois plus tard, Luka rejoignait les rangs de la sélection des Spetsnaz. Une dure sélection de trois semaines, trois semaines de calvaires, d'exercices plus difficiles les uns que les autres, aussi bien mentalement que physiquement. Des blessures mal soignées, des maladies développés, des os brisés, des accidents « de travail » allant parfois jusqu'à la mort. Sur 120 participants, seulement 30 allaient la terminer indemne, et seulement 12 allaient être sélectionnés. Un chiffre extraordinairement bas, mais restant dans les standards des Spetsnaz. Cette unité ne cherche que des esprits forts pour des corps forts, des hommes capables d'endurer bien des souffrances, des hommes rompus à toutes techniques de combat. En quelques sorte, la recherche du militaire idéal, le surhomme, capable de tout faire, capable de faire basculer la situation à lui seul. Cependant, il existe un bien grand écart entre la théorie et la pratique, et chacun des Spetsnaz le voit, le vit, un jour ou l'autre. C'est en ça qu'être un Spetsnaz est difficile. Luka allait le comprendre des années plus tard.
Après la sélection, vient la formation, une étape difficile, mais bien moins sélective et cassante. Les corps recherchés, les esprits recherchés, sont déjà là, mais maintenant, il faut les façonner, pour récupérer ce dont on cherche. Des milliers d'heures de musculation, d'exercices physique, de tirs, de manœuvres, de saut en parachute. Le retour sur les bancs, mais cette fois-ci, les bancs de l'école militaire des Spetsnaz « Ilya Starinov », le grand-père des Spetsnaz. L'histoire de la Russie, la maîtrise de l'anatomie, de l'espionnage, de l'informatique, du renseignement, la maîtrise de langues étrangères, de cultures étrangères. Ce qu'il faut faire dans un pays occidental et ne pas faire, ce qu'il faut faire dans un pays arabe et ne pas faire. Des centaines de livres sur les législations de bon nombre de pays. La maîtrise des lois de la convention de Genève, des lois sur les crimes de guerres et les crimes contre l'humanité. Dix longs mois de formation, aussi bien physique, mentale ou encore intellectuelle. Pour au final, devenir un opérateur du GRU, un Spetsnaz, un soldat d'élite. Vient alors, en ce début 2010, les premières opérations. Daguestan, Tchétchénie, Ingouchie. Trois régions fortement touchés par le « mal islamiste », comme le surnomment les officiers russes. Des opérations d'élimination de cellules terroristes, des arrestations, des fusillades, des attentats. Puis, en 2012, la guerre civile syrienne. Des groupes Spetsnaz sont envoyés en Syrie, officiellement pour s'assurer que la base navale russe de Tartus. Officieusement, ils s'assurent que les convois d'armes pour l'armée syrienne ne soient pas attaqués. Puis, lorsque le conflit s'intensifie, ils forment des milices pro-gouvernementales. Avant de participer aux combats face au Front Al-Nosra en 2013, lorsque celui-ci déclare son allégeance à Al-Qaida, ce qui fait de lui une cible de choix pour les russes. Les américains laissent faire, tandis que la traque des dirigeants du Front Al-Nosra débute. Elle durera un an, et s'étendra au Liban, en Jordanie, en Géorgie, en Israël, en Palestine, et même en Iraq. Finalement, la plupart des dirigeants auront été tués ou arrêtés, certains livrés aux américains comme monnaie d'échange. Une des plus grandes opérations réussie de l'histoire des Spetsnaz, mais malheureusement clandestine. Cinq opérateurs auront perdu la vie durant les missions.
Puis, milieu 2014, une guerre civile éclate en Transnistrie, état non-reconnu. Les massacres ethniques entre ukrainiens et moldaves, qui sont à deux doigt d'intervenir pour protéger leurs ethnies respectives, force la Russie à intervenir. Les Spetsnaz, dont Luka, sont de la partie, et envoyés en première ligne. Le pseudo-gouvernement est renversé, les Spetsnaz traquent son « président-dictateur » et après plusieurs jours, le capturent en Roumanie. Une guerre de guérilla est alors lancée contre les Russes, qui s'efforcent de mettre en place un nouveau gouvernement moins agressif envers la Moldavie et l'Ukraine. En Juillet 2014, une série d'attentats violents contre des campements tue 145 soldats russes. L'Ukraine et la Moldavie interviennent au côté de la Russie, les Spetsnaz sont envoyés dans les régions accidentés et très difficiles d'accès pour éliminer les groupes insurgés. Cette lutte durera jusqu'en Novembre 2014, et sera très violente. Environ 45 Spetsnaz seront portés disparus, et les groupes insurgés n'auront pu être affaiblis. Le mandat russe s'achève et le président ne le reconduit pas. L'Ukraine et la Moldavie resteront seuls dans la lutte contre les séparatistes du Dniestr.
Le mandat n'est pas reconduit parce qu'en Chine, une guerre civile éclate. Le gouvernement chinois n'est plus assez fort pour retenir la Corée du Nord, et celle-ci déclenche une guerre face à la Corée du Sud. Une coalition internationale est formée pour libérer la Corée du Nord de la dictature des Kim. La Russie est le pays qui y mobilisera le plus de moyen, voyant par là une occasion de mobiliser des troupes à proximité de la Chine, en pleine guerre. Les combats seront brefs : après quelques jours de vaste bombardement aérien et naval, l'armée nord-coréenne est en déroute. Mais reste encore la plus grande menace : les missiles balistiques et les ogives nucléaires nord-coréennes. Une vaste opération est alors menée par les forces spéciales russes, sud-coréennes et de l'OTAN. L'objectif est de mener des assauts coordonnées sur tous les silos de missiles nord-coréens, là où sont stockés leurs missiles balistiques et leurs ogives nucléaires, bactériologiques, radiologiques et chimiques. Luka fera parti des Spetsnaz chargé de prendre un silo retranché dans le territoire nord-coréen, proche de la frontière sino-coréenne. Après avoir neutralisé les forces nord-coréennes, ils tiennent le silo pendant deux jours, avant qu'une force aéroportée soit larguée dans leur région. L'invasion débute alors, et elle durera de nombreux mois de durs combats contre des poches de résistance, des milices paramilitaires et des divisions reformés à la hâte. Les Spetsnaz accompagneront leur armée dans cette lutte, notamment en sabotant des installations et en effectuant des missions de reconnaissance ou de guérilla. La libération de la Corée du Nord est un succès, et s'achève officiellement le 9 Juillet 2015.
Cinq jours plus tard, l'ensemble des troupes russes présente en Corée du Nord, qui ne combattaient plus depuis plusieurs semaines déjà, en vue d'une invasion de la Chine, et de nombreuses autres divisions sur la frontière sino-russe, pénètre en Chine. Les Spetsnaz sont alors envoyés pour capturer et neutraliser les silos de missiles nucléaires chinois. Ces opérations dureront deux semaines et seront très violentes, mais permettront d'assurer la sécurité de la Russie et d'empêcher le gouvernement chinois ou les mouvements rebelles de lancer le feu nucléaire. Puis, après ces opérations, les Spetsnaz seront envoyés dans la ville de Pékin. Ils devaient accompagner l'armée dans les violents combats pour la capitale, puis s'assurer que les membres du gouvernement soit bel et bien capturés. Après plusieurs semaines de lutte, le Parlement est envahi. Mais certains membres du gouvernement, dont le président et les ministres, manquent à l'appel. Leur traque débute dans les quartiers qui n'ont pas encore été sécurisé. Le 15 Septembre, alors que la ville est définitivement sécurisée, les Spetsnaz, dont Luka, capturent le président chinois.
Les Spetsnaz du GRU repartent alors pour la Russie. Ils auront perdu plus de 200 soldats durant ces deux campagnes. Mais la force spéciale de Russie ne s'avoue pas vaincue, et repart en Janvier 2016 pour l'Iran. Un assaut coordonné avec les États-Unis est décidé : les Navy SEALs s'occupent des centres de recherches nucléaires, les Spetsnaz s'occupent des différents quartiers généraux de l'armée iranienne. Les raids s'enchaînent, de nombreux généraux sont capturés ou tués, l'armée iranienne, perdant toute sa chaîne de commandement, est en déroute. La route vers Téhéran est ouverte pour l'armée russe. Deux semaines de combat acharné, et les forces russes arrivent à Téhéran. Les Spetsnaz sont, avec une importante force de la VDV, parachutés afin d'encercler la ville. Après quelques jours de combat, le dispositif est en place et Téhéran encerclé. De longs bombardements commencent alors que le président tente, avec deux divisions de la Garde, un passage en force sur le flanc protégé par la VDV et les Spetsnaz. Au terme de cinq heures de combat, et grâce à l'appui des chasseurs, des hélicoptères, des drones et des blindés parachutés, l'assaut sera repoussé : le président est tué dans les premières minutes de l'assaut. Luka sera blessé par balle, touché entre les deux poumons. Il ne pourra disposer de soins qu'après plusieurs heures d'attente. Manquant de mourir, il est plongé dans le coma plusieurs mois durant. Il ne sera rendu opérationnel qu'en Mars 2017. Un an plus tard, il fait parti de la cellule « Cerbère », des opérateurs russes envoyés clandestinement au Venezuela afin d'y former des milices communistes. Cette cellule clandestine participera ou sera à l'origine de nombreuses escarmouches et attentats contre les forces américaines engagés au Venezuela, mais également au sein même des États-Unis : Luka sera l'investigateur de l'attentat de Dallas ayant fait 18 morts et plus de 200 blessés, revendiqué par un mouvement radical vénézuélien. Mais durant une escarmouche, il est blessé à l'épaule et capturé par l'armée. Torturé pendant plusieurs semaines, il ne donnera cependant aucune information sur la cellule « Cerbère ». Un mois plus tard, lui et trois autres agents capturés font l'objet d'un échange. Cet événement marque la fin de la cellule. Luka, rapatrié, est débriefé puis remis à niveau. Deux ans plus tard, en 2020, le voilà de nouveau reparti, pour des événements bien plus grave.. La troisième guerre mondiale arriverait-elle enfin ?


Dernière édition par Luka Cheratov le Sam 20 Avr - 17:10, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeLun 4 Mar - 21:50

Je te souhaite la bienvenus Camarade Sergent. =)

Concernant, ta fiche je vais attendre que tu l'as termine avant de dire un avis dessus, donc tiens nous au courent moi et mes camarades modos/admins.
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeMar 5 Mar - 20:32

Lui je vais pas le rater trop de russe ici xD

Bienvenue comme mon amiE russe j'attend que ta fiche soit complète Smile
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeSam 9 Mar - 13:30

Je te souhaite la bienvenue Camarade Smile

Début de fiche intéressent j’attends la suite avec intérêt.
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeJeu 18 Avr - 8:49

Nous attendons la fin de ta fiche Luka Smile
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeSam 20 Avr - 17:11

Fiche terminée !
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeSam 20 Avr - 19:12

Fiche excellente, rien à redire !
Le personnage est intéressant, tout est extrêmement développé, bravo !
Tu mériterais plus que Sergent Chef selon moi, mais c'est à toi de voir Smile

Favorable
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Gilad RoyantEnforcerCorps, Colonel. Directeur du S.R.E.C (suspendu), commandant de la 94eme BCEnforcerCorps, Colonel. Directeur du S.R.E.C (suspendu), commandant de la  94eme BC
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeLun 22 Avr - 20:06

Du meme avis que mon collegue Smile

FAVORABLE
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeLun 22 Avr - 20:14

Bonne fiche Wink

Avis favorable
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeDim 28 Avr - 1:41

Dimitri ne donnant pas son avis j'exprime mon droit de grand chef Smile

VALIDE
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MessageSujet: Re: Luka Cheratov   Luka Cheratov Icon_minitimeDim 28 Avr - 8:53

J'allais oublier, n'oublie pas tes achat d'équipement à la banque Smile

http://www.endwar-rpg.com/f31-banque Smile

Et si tu veux, nous te proposons un RP d'intégrations avec Tom Clancy.
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